Isla Saona : un paradis de plages au sable blanc dans les Caraïbes

En République dominicaine, les plages paradisiaques sont légion. Pourtant, un nombre croissant de voyageurs remettent en question le modèle all-inclusive, trop formaté et déconnecté de la culture locale. À Punta Cana et La Romana, les resorts ne cessent de s’étendre, grignotant les paysages tropicaux pour faire place à des complexes fermés. Or, à quelques kilomètres seulement de ces lieux très fréquentés, une autre République dominicaine s’offre à ceux qui osent sortir des sentiers battus : plus humaine, plus contrastée, plus authentique. On entre alors dans le monde des vacances curieuses.

Ces vacances « curieuses » s’adressent aux voyageurs désireux d’explorer un pays de l’intérieur, à travers ses villages, sa cuisine, son histoire, et non à travers le prisme d’un buffet à volonté ou d’une piscine à débordement. Ce sont ces envies d’ailleurs et d’authenticité qui amènent de plus en plus de francophones à découvrir le sud-est de l’île autrement, notamment grâce à des agences engagées dans un tourisme plus responsable, comme Quetzal Excursions.

Le Grand Sud-Est : entre champs de canne à sucre et villages oubliés

Le Grand Sud-Est de la République dominicaine, compris entre La Romana et Punta Cana, reste largement méconnu des visiteurs. Pourtant, il s’agit d’une région fascinante, modelée par l’histoire agricole du pays. Les routes sillonnent un territoire fait de collines arides, de forêts clairsemées et surtout de gigantesques champs de canne à sucre qui ondulent sous la brise. C’est ici que bat le cœur productif du pays, dans une ambiance très éloignée de celle des zones hôtelières climatisées.

Le contraste est frappant : là où les resorts proposent un luxe standardisé, ces terres révèlent une vie dominicaine authentique, encore rythmée par les cycles agricoles et les traditions rurales. On y croise des convois de camions transportant la canne fraîche, des coupeurs en pleine action dès l’aube, et des postes de pesée appelés básculas, véritables points névralgiques du quotidien local. Il n’est pas rare que les guides de Quetzal marquent une pause à l’un de ces postes pour expliquer aux visiteurs le fonctionnement de cette filière et l’importance socio-économique de la canne à sucre pour le pays.

Plus loin dans l’arrière-pays, de petits hameaux émaillent le parcours : maisons colorées, enfants jouant au base-ball, chiens qui dorment à l’ombre des motos. Dans ces villages oubliés des itinéraires touristiques classiques, la curiosité est réciproque : les habitants se montrent aussi curieux des visiteurs que ceux-ci le sont de leur quotidien. On échange quelques mots, on goûte un jus de goyave, on se fait inviter à voir le jardin ou à tester un hamac. Le luxe change alors de définition.

Saint-Domingue : berceau colonial et capitale vibrante

Bien que souvent négligée par les voyageurs qui filent directement vers les plages, Saint-Domingue mérite largement le détour. Première ville européenne fondée sur le continent américain, elle est aujourd’hui classée au patrimoine mondial de l’UNESCO grâce à sa remarquable Zone Coloniale. Ce quartier regorge de trésors architecturaux : cathédrale Santa María la Menor, forteresse Ozama, palais Colón… chaque ruelle pavée semble porter la mémoire de cinq siècles d’histoire.

Mais la capitale ne vit pas uniquement dans son passé. Moderne, animée, contrastée, elle révèle un autre visage une fois le soleil couché. Le long du Malecón, la grande avenue côtière, les habitants se retrouvent pour danser, boire un verre, écouter de la musique ou simplement se balader. Tous les dimanches soir, la place San Francisco se transforme en scène à ciel ouvert où des orchestres animent des soirées merengue, bachata ou salsa. Locaux et visiteurs s’y mêlent dans une atmosphère conviviale et festive.

Pour explorer la capitale de façon confortable et enrichissante, l’excursion Saint Domingue proposée par Quetzal Excursions combine visites guidées, pauses gourmandes et temps libres, offrant une vision complète et nuancée de la ville. On y découvre non seulement les sites historiques, mais aussi les marchés, les cafés, les galeries, bref, le cœur battant d’une capitale caribéenne en pleine effervescence.

L’île Saona : bien plus qu’un décor de carte postale

Loin de l’image figée du tourisme de masse, l’île Saona peut encore se vivre comme une véritable échappée. Située dans le sublime Parc National Cotubanamá, elle offre bien sûr son lot de plages de sable blanc, de cocotiers inclinés et d’eaux cristallines. Mais ce qui fait la différence, c’est la manière dont on y accède et ce que l’on choisit d’y vivre. La excursion île de Saona avec Quetzal Excursions propose une alternative douce, en petit groupe, loin des embarcations bondées qui déversent chaque jour des centaines de touristes sur les plages les plus connues.

La journée commence par une traversée en catamaran, bercée par le vent, les rythmes dominicains et les discussions à bord. Avant d’atteindre l’île, une halte est prévue à la célèbre piscine naturelle de Las Palmillas, où l’eau transparente n’a parfois qu’un mètre de profondeur. On y observe des étoiles de mer (sans jamais les toucher), on trinque à la douceur des Caraïbes, et on se laisse simplement porter par l’instant.

Une fois sur Saona, le voyage prend un autre tournant avec la visite du village de Manojuán. Ce petit bourg de pêcheurs, éloigné des circuits traditionnels, est une rare occasion d’entrer en contact avec les habitants de l’île. On y découvre une petite école, une maison des tortues marines qui sensibilise à leur préservation, et des ateliers d’artisanat local. Ici, pas de décor figé pour Instagram, mais une vraie rencontre humaine. Le rythme est lent, les sourires sincères, et chaque visite contribue directement au développement du village. C’est une immersion simple mais puissante, qui marque durablement les esprits.

Boca de Yuma : calme, authenticité et horizons infinis

À seulement 20 kilomètres de l’autoroute reliant La Romana à Punta Cana, se trouve un trésor discret : Boca de Yuma. Ce village de pêcheurs perché au bord d’une falaise surplombant la mer a su préserver son caractère, loin des circuits touristiques. L’ambiance y est paisible, presque suspendue. On y croise des barques peintes, des pêcheurs réparant leurs filets, des enfants jouant au bord de l’eau, et une nature généreuse qui encadre le tout.

Le fleuve Yuma, qui donne son nom au village, serpente dans une végétation luxuriante et abrite une faune locale que l’on peut découvrir en barque ou à pied. Les plus aventureux pourront explorer les grottes avoisinantes, autrefois refuges de pirates, aujourd’hui havres de fraîcheur et de mystère. Pour les amateurs de gastronomie simple et locale, plusieurs restaurants de bord de mer proposent du poisson grillé, des langoustes fraîches ou encore des bananes plantains frites, à savourer avec vue panoramique.

Boca de Yuma, c’est aussi un lieu de rencontres spontanées. Ici, on engage la conversation facilement, on vous recommande un sentier, un plat, une histoire. Et surtout, on vous accueille sans chichi, avec cette générosité typiquement dominicaine qui fait toute la richesse du voyage.

Conclusion : une autre République dominicaine à portée de main

Découvrir la République dominicaine autrement, c’est possible. En sortant des hôtels tout compris et en s’aventurant vers des lieux comme Saint-Domingue, Saona ou Boca de Yuma, on change complètement de perspective. On ne se contente plus de consommer des paysages, on les vit, on les comprend, on les partage. On échange des regards, des sourires, des moments. On revient non seulement avec de belles photos, mais surtout avec une histoire à raconter.

Et parce qu’un voyage ne se résume pas à une destination, mais à une manière de s’y rendre et de la vivre, faire confiance à des acteurs engagés comme Quetzal Excursions est un vrai plus. Leurs offres sont pensées pour respecter les lieux, valoriser les habitants et proposer une expérience plus humaine. Pour vous faire une idée des retours clients, n’hésitez pas à consulter les avis sur Quetzal Excursions sur TripAdvisor.